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Date de création : 12.01.2011
Dernière mise à jour : 23.03.2018
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Légendes

La légende de la galette des rois

Publié le 07/01/2018 à 08:55 par gjl038 Tags : homme enfants femme nuit message sur image centerblog
La légende de la galette des rois

 

Qui ne connaît l’histoire des rois mages qui, guidés par une étoile, se rendirent à Bethléem rendre hommage à l’enfant Jésus ?
Le premier s’appelait Gaspard. Il avait le teint clair des Européens, et apportait de l’or. Le second, Melchior, avait la peau brune des gens de Palestine et d’Arabie. Celui-là était porteur d’encens. Le troisième, Balthazar, était couleur de nuit sans lune et ses dents brillaient comme brillent les dents des Africains. Ce dernier offrit à l’enfant Jésus de la myrrhe.
On sait moins ce qui leur advint sur le chemin du retour.
Ils étaient savants en beaucoup de choses, certes, mais cela n’empêcha point qu’ils se perdirent bel et bien, n’ayant plus le secours de l’étoile pour les aider. Après avoir erré plusieurs jours dans le désert, à bout de nourriture et sans eau, ils aperçurent enfin une misérable cahute devant laquelle se tenaient uncouple et deux enfants.
Les joues décharnées, les yeux brillants de faim, ils firent pourtant bon accueil aux mages, les invitèrent à entrer, et leur offrirent un peu du peu qu’ils avaient : de l’eau pour se rafraîchir.
- C’est que nous avons faim aussi, dit Melchior. Un peu de pain, même rassis, ferait l’affaire.
- Hélas, soupira la femme, nous n’avons plus qu’un peu de farine, de lait, d’huile d’olive, une noisette de beurre ; juste de quoi faire une galette que nous partagerons entre les enfants.  Ensuite, il ne nous restera plus qu’à nous jeter dans le puits ou à mourir de faim.
Les mages se regardèrent.
- Faites la galette ma brave femme, dit Gaspard.
La femme obéit. La galette était tout juste suffisante pour une personne.
Gaspard, qui avait le teint clair des Européens, plia la pâte en deux, et la galette doubla en volume. Melchior, le mage à la peau brune des gens de Palestine et d’Arabie, plia de nouveau la pâte en deux, et il y en eu pour quatre. Balthazar, le roi Nègre couleur de nuit sans lune, plia encore la pâte en deux, et il y en eut pour huit.
Le couple remercia chaleureusement les mages. La femme étala la pâte et mit la galette à cuire. Elle était dorée à point.
L’homme se gratta la tête, le couteau à la main.
- C’est que cette galette est une galette pour huit, et nous sommes sept. Le partage sera difficile.
- La huitième part est celle du mendiant, dit Balthazar.
- Quel mendiant, dit homme ?
- Celui qui vient et que vous ne voyez pas encore.
À ce moment-là le plus jeune des enfants,  un garçon, recracha quelque chose. C’était une bague que Melchior avait glissée – volontairement ou non, l’histoire ne le dit pas - dans la pâte.
L’enfant voulut rendre le bijou. Le mage sourit, ôta la couronne de sa tête et en coiffa l’enfant.
- Tout enfant est roi, dit-il. Tel est le message que délivrera un autre enfant, né il y a peu non loin d’ici. Pour commémorer ce jour, je veux que chaque année on fasse une galette, qu’on n’oublie pas la part du pauvre, qu’on y glisse une fève pour désigner un roi ou une reine, ne serait-ce que pour une journée.
Les pauvres gens promirent de respecter la volonté des mages.
C’est ainsi que naquit la tradition de la galette des rois, qu’elle se répandit, et qu’on se la transmit jusqu’à nos jours.

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Légende de la galette des rois ...

Publié le 07/01/2017 à 08:11 par gjl038 Tags : nuit image centerblog merci moi roman homme enfants femme histoire message
Légende de la galette des rois ...

 

Qui ne connaît l’ histoire des rois mages qui, guidés par une étoile, se rendirent à Bethléem rendre hommage à l’ enfant Jésus ?

...Le premier s’ appelait Gaspard. Il avait le teint clair des Européens, et apportait de l’ or. Le second, Melchior, avait la peau brune des gens de Palestine et d’Arabie. Celui-là était porteur d’ encens. Le troisième, Balthazar, était couleur de nuit sans lune et ses dents brillaient comme brillent les dents des Africains. Ce dernier offrit à l’ enfant Jésus de la myrrhe.

On sait moins ce qui leur advint sur le chemin du retour.

Ils étaient savants en beaucoup de choses, certes, mais cela n’ empêcha point qu ’ ils se perdirent bel et bien, n’ ayant plus le secours de l’ étoile pour les aider. Après avoir erré plusieurs jours dans le désert, à bout de nourriture et sans eau, ils aperçurent enfin une misérable cahute devant laquelle se tenaient un couple et deux enfants.

Les joues décharnées, les yeux brillants de faim, ils firent pourtant bon accueil aux mages, les invitèrent à entrer, et leur offrirent un peu du peu qu ’ ils avaient : de l’ eau pour se rafraîchir.

- C’ est que nous avons faim aussi, dit Melchior. Un peu de pain, même rassis, ferait l’ affaire.

- Hélas, soupira la femme, nous n’ avons plus qu’ un peu de farine, de lait, d’ huile d’ olive, une noisette de beurre ; juste de quoi faire une galette que nous partagerons entre les enfants. Ensuite, il ne nous restera plus qu’ à nous jeter dans le puits ou à mourir de faim.

Les mages se regardèrent.

- Faites la galette ma brave femme, dit Gaspard.

La femme obéit. La galette était tout juste suffisante pour une personne.

Gaspard, qui avait le teint clair des Européens, plia la pâte en deux, et la galette doubla en volume. Melchior, le mage à la peau brune des gens de Palestine et d’Arabie, plia de nouveau la pâte en deux, et il y en eu pour quatre. Balthazar, le roi Nègre couleur de nuit sans lune, plia encore la pâte en deux, et il y en eut pour huit.

Le couple remercia chaleureusement les mages. La femme étala la pâte et mit la galette à cuire. Elle était dorée à point.

L’ homme se gratta la tête, le couteau à la main.

- C’ est que cette galette est une galette pour huit, et nous sommes sept. Le partage sera difficile.

- La huitième part est celle du mendiant, dit Balthazar.

- Quel mendiant, dit homme ?

- Celui qui vient et que vous ne voyez pas encore.

À ce moment-là le plus jeune des enfants, un garçon, recracha quelque chose. C’ était une bague que Melchior avait glissée – volontairement ou non, l’ histoire ne le dit pas - dans la pâte.

L’ enfant voulut rendre le bijou. Le mage sourit, ôta la couronne de sa tête et en coiffa l’ enfant.

- Tout enfant est roi, dit-il. Tel est le message que délivrera un autre enfant, né il y a peu non loin d’ ici. Pour commémorer ce jour, je veux que chaque année on fasse une galette, qu’ on n’ oublie pas la part du pauvre, qu’ on y glisse une fève pour désigner un roi ou une reine, ne serait-ce que pour une journée.

Les pauvres gens promirent de respecter la volonté des mages.

C’ est ainsi que naquit la tradition de la galette des rois, qu ’ elle se répandit, et qu’ on se la transmit jusqu ’ à nos jours ...

 

 

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La fête du VU LAN

Publié le 07/12/2014 à 15:47 par gjl038 Tags : mort image centerblog vie monde enfants femme nature
La fête du VU LAN

 

 

VOICI UNE LEGENDE VIETNAMIENNE :

 

 

Il était une fois une femme méchante nommée Thanh Dê.

 Elle était impitoyable envers les pauvres et les mendiants.Elle ne faisait jamais aumône et chassait tout mendiant quise présentait au portail de sa maison.Elle n'hésitait à piétiner des grains de riz, recueillis par lespauvres paysans .

 

Elle se moquait des bonzes en cherchant à rompre leur quiétude.Elle blasphémait Bouddha, méprisait les esprits et offrait à lapagode des victuailles de jeûne auxquelles elle avait mêlé desaliments carnés. Son fils Muc Kiên Liên un bonze de haute vertu,lui donnait des conseils mais elle ne l'écoutait pas.

 

A sa mort, elle rejoignit inévitablement le Royaume des Morts et dut payer ses fautes commises dans le monde des vivants:

-s'asseoir sur un lit à clous,

- porter sur la tête un seau rempli de sang,

- rester affamée et assoiffée car tout aliment qu'on lui mettaitdans sa bouche se fondait en sang et se muait en flamme.

 

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Son fils, avait atteint l'illumination et put se rendre dans leRoyaume des Morts pour voir sa mère.Il fut témoin des châtiments qu'elle encourut. Il ne pouvait rien changer .Il décida d'aller voir Bouddha et lui demanda grâce .Celui-ci lui ordonna d'organiser au 15ème jour du 7ème moislunaire, la cérémonie de Vu Lan, au cours de laquelle il pourraitsolliciter la remise de peine pour sa mère avec les prières et l'aumône.

 

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De retour sur terre, Muc Kiên Liên, le jour venu, dressa un autelen hommage à Bouddha . Thanh Dê, qui était dans le Royaume des Morts,prit conscience de la souffrance .

 

Sa nature commença à changer.

La piété de Muc Kiên Liên remua la porte du Ciel. Le père célesteréexamina le cas de Thanh Dê, constata qu'elle avait pu se repentiret l'acquitta. Il fut permis à Muc Kiên Liên de descendre dans l'enferpour ramener sa mère à la vie.

Depuis lors, Thanh Dê,

- honora Bouddha,

- respecta les bonzes,

- secourut les pauvres .

 

En s'inspirant de cet exemple, les enfants pieux, selon lacoutume vietnamienne, au 15ème jour du 7ème mois lunaire,érigent un autel à la mémoire des défunts et font aumône aux pauvres.

 

C'est ainsi que la fête du Vu Lan devient la fête des Mères pour les vietnamiens.

 

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Sur la piste de L'Homme des neiges

Publié le 28/12/2013 à 15:36 par gjl038 Tags : animal image centerblog homme photos mort
Sur la piste de  L'Homme des neiges

 

 

 

L'abominable homme des neiges n'a rien à envier aux extraterrestres. Des centaines de personnes affirment l'avoir vu, mais jusqu'à maintenant, nul n'a été en mesure de fournir une preuve tangible de son existence. Le plus célèbre des abominables hommes des neiges est le yéti qui est censé vivre dans le massif himalayen. On le décrit comme un homme sauvage, mi-ours mi-singe pouvant mesurer 3 m(9pi 9 po), couvert de poils broussailleux, doté d'une tête en forme de pain de sucre, de longs bras musclés et d'une poitrine puissante. Sa grande timidité le rend susceptible; il vaut donc mieux ne pas le rencontrer!

 

 

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Des témoignages troublants:

À la fin du siècle dernier, durant un séjour dans l'Himalaya, le colonel L.A. Waddel aperçoit des traces étranges; il les attribute au grand ours jaune des neiges (Ursus isabellinus). Quelques années plus tard, dans la même région, un scientifique de renom, H.J. Elwes, voit une créature bizarre s'enfuir à son approche. Il semble qu'Elwes ait élaboré un imposant dossier pour appuyer son témoignage; cependant après la mort du savant, on n'a pas trouvé de trace de ces pièces écrites.

 

 

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En 1951, toujours dans l'Himalaya, Erik Shipton croise les pistes de deux grands bipèdes. Il décide de suivre ces traces, qui mènent à une crevasse et reprennent de l'autre côté de celle-ci. Quel animal est capable de sauter par-dessus une crevasse et d'atterrir sur ses pattes arrière? Aucun de ceux que l'on connaît à l'époque. Intrigué, Shipton prend d'excellentes photos des empreintes; il réussira à prouver que ces dernières n'appartiennent à aucune créature connue. Des clichés similaires seront pris en 1955 par l'abbé Pierre Bordet.

 

 

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À partir des années 60, des explorateurs et des excursionnistes rapportent des preuves de l'existence de l'abominable homme des neiges, mais elle s'avèrent fausses : "scalp de yéti" taillé dans le garrot d'une chèvre, "os d'avant-bras de yéti" provenant de la patte d'une panthère. À cause de ces canulars, ceux qui croient que le yéti existe acquièrent une très mauvaise réputation, même quand ils sont honnêtes. Pour ne pas nuire à leur crédibilité, les scientifiques se désintéressent de l'affaire.

 

 

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Une grande famille:

Le yéti a des cousins tout aussi légendaires que lui. Son plus proche parent est le sasquatch, qui vit en Amérique du Nord. Il se dissimule dans les montagnes qui longent l'océan Pacifique, de la Colombie-Britannique à la californie. On a photographié beaucoup plus de pistes de sasquatch que de traces de yéti. En 1884, à Yale, en colombie-Britannique, des gens travaillant dans un train ont prétendu avoir capturé un sasquatch et l'ont baptisé Jacko. Quand le convoi est arrivé à destination, Jacko avait disparu sans laisser de trace.... En 1924, un chercheur d"or affirme ¸etre tombé nez à nez avec toute une famille de sasquatchs. La même année, des mineurs de l'État du Washington ont dit qu'ils avaient abattu un mais que malheureusement, il était tombé au bas d'une falaise; son corps n'a jamais été retrouvé. D'autres témoignanges vont dans le même sens, mais aucun n'a pu être confirmé.

 

 

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Le mystère persiste:

Les attestations recueillies au fil des années quant à l'existence du yéti et des créatures s'y apparentant se comptent par centaines. En fait, elles sont si nombreuses qu'il est difficile de croire qu'il s'agit dans tous les cas des canulars ou d'hallucinations. Il auraut fallu une gigantesque organisation de farceurs pour réussir à faire tant de fausses empreintes un peu partout sur la planète.

Il nous faut admette que certaines des pistes attribuées au yéti ou à ses cousins ont peut-être été laissées par des créatures que nous ne connaissons pas encore. Il n'est pas impossible que quelques gigantopithèques, ancêtre de l'homme moderne aient survécu jusqu'à aujourd'hui. Cette hypothèse ne repose cependant sur aucune preuve solide. Bref, rien ne permet pour le moment de confirmer scientifiquement que le yéti existe, mais fermer définitivement la porte à cette possibilité équivaudrait à refuser d'en apprendre davantage sur les origines de notre espèce.

 

 

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La petite fille que l'on appelait toujours ...

Publié le 17/11/2013 à 17:27 par gjl038 Tags : soi image centerblog moi enfants histoire fille jeux
La petite fille que l'on appelait toujours ...

 

 

 

 

 

 

La petite fille que l'on appelait toujours :

 

«ma grande»

 

LA PETITE FILLE .... /à méditer

 

 

 

Il était une fois une petite fille qui avait grandi trop vite, trop rapidement.

Non seulement dans son corps, dans ses jambes, dans ses bras,

mais dans tout le reste.

À huit ans, on lui demandait d'être serviable, attentive, raisonnable.

De ne pas se plaindre, de ne pas se mettre en colère,

de ne pas faire de caprices, de ne pas avoir d'exigences.

D'être grande, quoi !

 

 

 

Ne croyez pas que ses parents étaient des bourreaux.

Oh non, ils lui demandaient simplement :

«Fais-nous plaisir. Seulement cela, on ne te demande rien d'autre

que d'être gentille, que d'être obéissante... ce n'est pas difficile ça ! »

 

Comme cette petite fille n'avait jamais osé demander quelque chose,

elle n'était jamais déçue. Elle ne savait pas si elle était heureuse ou pas.

Elle n'avait pas de désir propre. Elle était sans attente.

C'était les autres qui avaient des attentes à son égard.

Et son plaisir à elle... était de faire plaisir aux autres !

Du moins l'imaginait-elle.

 

 

 

Quelque chose cependant aurait dû l'alerter,

car les autres ne témoignaient pas beaucoup de plaisir

qu'ils avaient à ce qu'elle soit «comme elle devait être».

Pour eux, cela allait de soi.

 

Pour être tout à fait juste, je dois dire que quelquefois,

le soir juste avant de s'endormir, quand elle suçait son pouce,

le drap sous le nez, les yeux ouverts dans le noir,

un sentiment d'injustice l'effleurait de son aile noire.

Oh.. à peine !

Elle imaginait aussi qu'il y avait un pays

où les petites filles pouvaient être petites longtemps.

Un pays où les parents écoutaient les désirs des enfants,

même s'ils ne les réalisaient pas toujours.

Un pays où les enfants pouvaient jouer à être grands,

mais seulement jouer... à être grands !

 

 

 

 

Certains soirs, elle imaginait qu'elle partait pour ce pays,

avec un grand sac et qu'elle l'emplissait de rêves, de jeux, de rires

et aussi de sanglots.

Car vous l'avez deviné, cette petite fille ne pleurait pas du tout...

«puisqu'elle devait être grande».

 

La suite de l'histoire est étonnante.

Il faudra que cette petite fille attende d'avoir quarante ans.

Vous m'avez bien entendu, quarante ans pour oser devenir petite,

pour oser avoir des désirs impossibles, pour oser pleurer et rire.

Pour oser danser et même faire des bêtises.

Elle avait déjà à l'époque des enfants

et un jour sa propre fille lui demanda :

« C'est vrai, maman, que tu n'as jamais pu être petite quand tu étais petite ?

 

 

 

- C'est vrai, j'ai vécu comme si je n'avais jamais eu ni le temps,

ni l'idée, ni la possibilité d'être petite.

Oui, très tôt, lui dit-elle, je suis devenue grande.

C'est seulement aujourd'hui que je comprends.

Tout s'est passé comme si mes propres parents

n'avaient pas eu le temps de grandir,

quand ils étaient enfants, et que moi je devais être grande pour eux... ».

 

 

Il arrive parfois à des ex-petites filles

d'attendre longtemps, longtemps pour oser être enfin petites...

 

et aussi à des petits garçons.

 

Jacques Salomé

 

 

 



La légende de l'hellébore

Publié le 16/11/2013 à 10:35 par gjl038 Tags : fleur ange rose cadeaux neige nuit divers belle centerblog
La légende de l'hellébore

 

 

La légende de l'hellébore

(rose de Noël)

La nuit de la naissance du Christ, Madelon, une petite bergère qui gardait ses moutons, vit les rois mages et divers bergers, chargés de cadeaux, traverser le champ couvert de neige où elle se trouvait.

 

 

Les rois mages portaient l'or, la myrrhe et l'encens, les bergers des fruits, du miel et des colombes. Madelon pensa qu'elle n'avait rien, pas même une simple fleur, pour ce nouveau-né d'exception.

 

 

 

Un ange voyant ses larmes frôla la neige, révélant ainsi une très belle fleur blanche ombrée de rose :

la rose de Noël.

 

 

 

 

 

 

 

 

 



Les élementaux

Publié le 29/06/2013 à 15:57 par gjl038 Tags : air centerblog monde fond nature femmes animaux éléments
Les élementaux

 

 

 

 

Les fées et les esprits de la nature habitent la matière et les éléments
qui la composent: la terre, l'eau, l'air et le feu.

 

C'est pourquoi ils sont fréquemment appellés les élementaux ou "elementals".

 

 

 

 

Ils sont en quelque sorte esprits gardiens de la nature,
ils veillent sur la croissance des animaux et des plantes,
composent la part spirituelle de la terre, des pierres, des rivières ou du vent.

 

 

 

Ces esprits ne sont pas totalement invisibles;
ils ont un corps fait de pure énergie, lumineux
qui se fond avec l'envirronnement naturel dont il adopte la forme et la couleur.

 C'est pourquoi il est si difficile de les voir.

 

 

 

La matière dans laquelle les esprits peuvent se manifester s'appelle l'éther.
L'éther est un monde dans lequel les manifestations vibrent sur une fréquence
qui n'est pas, en général, visible, audible, palpable pour les sens des hommes.
Paracelse, médecin, alchimiste et théosophe, publia la première classification des esprits.
C'est de lui que nous vient la notion des "esprits élémentaires",
c'est à dire des esprits que la croyance populaire fait présider aux quatre éléments,
vivant en eux et les gouvernant.

 

 

 

Les esprits de l'eau sont les nymphes, ondines, nixes, sirènes et néréides.
Leurs pouvoirs sont liés à la fécondité, à la séduction, à l'érotisme et à la passion.

 Les élémentaux de l'air sont la demeure des sylphes et des elfes.
Ces derniers font d'excellents musiciens.

 

 

 

Les élémentaux de la terre sont traditionnellement les gnomes et les nains.
Ils sont menteurs, amoureux des femmes et gardiens des trésors.

Les esprits du feu sont les salamandres,
or l'élément feu est le plus subtil et le plus mystérieux des quatre.
Elles incarnent le feu divin, le feu de l'illumination et de l'éveil.

 

 

Tous ensemble, ils forment les esprits de la nature.

 

     

 mlecheva
 
 
 
 
 


La légende de la fée Morgane

Publié le 24/05/2013 à 16:36 par gjl038 Tags : bretagne image centerblog fond belle france femme roman mort littérature bande poème
La légende de la fée Morgane

 

 

Sœur ou demi-sœur du roi Arthur, Morgane est un personnage complexe que l'on retrouve dans la littérature et les légendes de Grande- Bretagne, d'Italie et de France.

 

 

 

 

 

 

Qu'elle choisisse d'apparaître sous les traits d'une déesse, d'une sorcière, d'une harpie, d'une guérisseuse ou d'une fée, sa forte personnalité et ses talents surnaturels en font une figure "incontournable" de l'univers magique.
Morgane fait ses débuts dans le cycle arthurien au XIIIe siècle, lorsque Geoffroy de Monmouth évoque une certaine " Morgan le Fay" (la fée), femme belle et instruite, dotée de pouvoirs de guérison, sachant en outre voler et changer d'apparence. Elle vit avec ses huit sœurs sur l'île d'Avalon.

 

 

 

 

 

 

 

Lorsque Arthur est blessé au cours de son ultime bataille, Morgane le transporte dans son île, le couche sur un lit d'or et lui rend la santé.
Dans des récits ultérieurs, on raconte que c'est Merlin qui lui aurait enseigné tout ce qu'elle sait.
A la fin du Moyen Age, lorsque la sorcellerie devint hautement suspecte en Europe, une femme puissante aux nombreux pouvoirs de magicienne ne pouvait qu'attirer sur elle le soupçon, même si elle n'opérait que dans la fiction.

 

 

 

 

Il en résultat de nouvelles variantes de la légende arthurienne, qui présentaient de la fée Morgane un portrait beaucoup moins flatteur.
Dans "la mort d'Arthur" de Sir Thomas Malory, Morgane est devenue un personnage profondément malfaisant, qui utilise ses pouvoirs pour détruire son frère, la reine et sa cour. Sachant Arthur vulnérable sans son épée magique Excalibur, elle la lui vole et la remet à l'ennemi juré du roi, dans l'espoir qu'il s'en servira pour le tuer.

 

 

 

 

 

Une autre fois, Morgane donne à son frère, qui ne se doute de rien, une cape enchantée en gage de paix. Au moment de s'en couvrir, il évite de justesse d'être réduit en cendres. Prise en chasse par les hommes d'Arthur, Morgane leur échappe en se transformant en pierre.
Au-delà de l'imagerie arthurienne, Morgane apparaît dans le folklore irlandais comme une fée malveillante aimant faire peur aux humains et, dans le folklore écossais, comme la maîtresse d'un château habité par une bande de créatures maléfiques.
Dans le poème épique italien Orlando furioso, Morgane est une enchanteresse vivant au fond d'un lac et distribuant des trésors à ceux qu'elle apprécie.

 

 

 

Elle est également apparentée aux Morganes - des sirènes dont on dit qu'elles vivent au large des côtes françaises. Conformes à la double image de Morgane, il n'est pas étonnant que, au fil de certains récits, les sirènes entraînent les marins vers une mort effroyable, alors que dans d'autres, elles les conduisent à un sublime paradis sous-marin.

 

 

 



Les génies

Publié le 20/05/2013 à 16:25 par gjl038 Tags : divers centerblog monde homme chez dieu
Les  génies

 

 

 

 

Qui sont les Génies?

 

Les génies sont des divinités intermédiaires entre les hommes et les dieux.

 

 

 

Présents chez tous les peuples de l'antiquité, ils étaient considérés comme présidant au destinées de l'homme et intervenant dans leurs affaires et dans les affaires du monde des vivants.

 

 

 

La Légende Selon certains peuples orientaux, les génies habitaient la terre bien avant les humains mais ils n'obéirent pas à dieu et se révoltèrent contre lui. Alors, ils furent chassés et rejetés vers l'extrémité du monde. On dit aussi qu'ils étaient soumis aux ordres de personnes qui possèderaient certains talismans.

 

 

 

Aussi ils pouvaient changer leur apparence physique à volonté.

 

Pour les musulmans, les génies était source de mal et de malfaisance. Ils n'étaient pas du tout appréciés et les gens en avaient une peur indescriptible.

 

 

 

Ils disaient aussi que les génies pouvaient prendre possession de l'âme d'une personne et la manipuler comme cet esprit maléfique le voulait. Ce n'est que plus tard que vint la légende d'Aladin et de la lampe magique qui a été inspirée des croyances orientales.

 

Quant aux chinois, ils considéraient les génies comme les gardiens des temples, des édifices divers, des villes et des provinces.

 

 

 

 

 



Les guirlandes du sapin de Noël...

Publié le 19/12/2012 à 15:12 par gjl038 Tags : travail monde centerblog background argent cadeaux
 Les guirlandes du sapin de Noël...

 

 

 

Vous avez peut-être décoré votre sapin avec de très jolies guirlandes ou vous allez le faire…Mais connaissez-vous la légende des guirlandes du sapin de Noël ? Je vais vous la raconter…

 

C’était il y a très longtemps en Allemagne, une maman s'affairait à préparer les décorations de Noël; l'arbre était dressé, la maison nettoyée et les araignées chassées.

 Le soir, le calme et la sérénité revenus, les araignées revinrent et découvrirent le sapin, elles entreprirent aussitôt l'assaut de l'arbre, le recouvrant de leurs toiles grises et poussiéreuses.

Lors de l'arrivée du Père Noël pour la distribution des 
cadeaux, il fut ravi de découvrir les araignées heureuses et satisfaites de leur travail  de décoration du sapin, mais il ne put s'empêcher de penser à la tristesse de la mère qui allait retrouver son arbre décoré de toiles.

C'est pourquoi, pour satisfaire tout le monde le Père Noël transforma la décoration de fils grisâtres en fils d'or et d'argent. L'arbre de Noël se mit alors à scintiller et à briller de tous ses feux ! C'est pour cette raison que depuis, les décorations de nos sapins de Noël sont constituées de belles et brillantes guirlandes. C'est aussi pour cette raison, que la légende dit qu'il faudrait toujours glisser, au milieu des branches de nos arbres de noël, de gentilles petites araignées.

 

 

 

 

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